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Sous le titre Chroniques Hongroises, le blog publie une série d'articles de 1920-1921

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Réfugié à Vienne après la chute de la République des Conseils, Lukács écrit quotidiennement des articles politiques pour la presse communiste. La révolution a échoué en Hongrie, et la responsabilité en incombe très largement, selon Lukács, aux sociaux-démocrates, accusés de trahison, avec lesquels les communistes s’étaient alliés, mais la foi révolutionnaire reste intacte. Le capitalisme tente de se maintenir par la terreur, mais les échecs du mouvement ouvrier sont riches d’enseignements, ils font progresser la conscience de classe du prolétariat et la victoire finale reste proche.

Ses analyses des rapports de classes, des idéologies qui s’y développent, montrent que la terreur n’est pas seulement le fait d’officiers radicalisés, mais qu’elle peut aussi recueillir le soutien de certaines couches de la population, et tracent déjà les contours d’un phénomène qu’on ne tardera pas à désigner comme « fasciste ».

Lire dans les "pages" du blog :

http://amisgeorglukacs.org/2024/04/georg-lukacs-chroniques-hongroises-1920-1921.html

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Guillaume Fondu commente le chapitre 4 de l'esthétique.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

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Parution de la nouvelle édition de la Théorie du Roman

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Les classiques Garnier, éditeurs de la Revue "Romanesques" nous informent de la parution prochaine du numéro spécial consacré à la nouvelle édition de la Théorie du Roman.

 

Théorie du Roman, publicité, bon de Commande.

Théorie du Roman Table des matières.

Publié dans Textes de Lukacs

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Le blog publie un article de 1920 : les syndicats en route vers la révolution

Publié le par Jean-Pierre Morbois

En exil à Vienne, Georg Lukács continue d’alimenter journellement la presse communiste en langue allemande ou hongroise en articles commentant l’actualité. Le présent article est consacré au récent congrès de l’Internationale d’Amsterdam.

La question syndicale a été abordée à l’été 1920 lors du 2ème congrès de l’Internationale Communiste. Les consignes sont de travailler dans les syndicats existants, d’y dénoncer les bureaucraties réformistes sans craindre la scission, et de participer aux syndicats révolutionnaires là où ils existent.

Lire l'article dans les "pages" du blog :
http://amisgeorglukacs.org/2024/04/georg-lukacs-les-syndicats-en-route-vers-la-revolution-1920.html


 

Publié dans Textes de Lukacs

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Le blog publie un article de 1920 : où en sommes nous ?

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Georg Lukács vit en exil à Vienne, exilé après la chute de la République hongroise des conseils. Il produit alors, pour la presse communiste de langue allemande et hongroise, des articles politiques commentant l’actualité.

Le texte que nous proposons ici, publié dans Proletár, revue du PCH éditée à Vienne, se situe dans une période de reflux de la vague révolutionnaire. Le découragement et la lassitude guettent les militants. Le mouvement ouvrier se divise, mais les lignes de fracture manquent encore de netteté, ce qu’a voulu pallier le iième congrès de l’Internationale Communiste, tenu fin juillet début août 1920, avec l’établissement des 21 conditions d’adhésion.

Ce sont les difficultés, les revers, qui permettent les prises de conscience, ce sont les expériences qui forgent le Parti de la Révolution.

Lire l'article dans les "pages" du blog :
http://amisgeorglukacs.org/2024/04/georg-lukacs-ou-en-sommes-nous-1920.html

 

 

Publié dans Textes de Lukacs

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le blog publie un article de 1921 : 2½= 0

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Ce petit article polémique paraît alors que les lignes de fracture au sein du mouvement ouvrier commencent à se préciser. À gauche, les communistes commencent à se regrouper au sein de la iiième Internationale, mais leurs partis autonomes n’existent pas encore dans de nombreux pays. À droite, les sociaux-démocrates continuent leur collaboration avec la bourgeoisie commencée en 1914. Les « centristes » (la majorité d’entre eux en Allemagne viennent de rejoindre le KPD) développent un discours révolutionnaire en apparence, mais refusent la discipline bolchevique qu’impliquent les 21 conditions d’adhésion à la iiième Internationale. Ils tentent de fonder leur propre Internationale, à mi-chemin entre la iième et la iiième. Lukács dénonce ici le double discours, et l’opportunisme dissimulé sous la phraséologie révolutionnaire.

Lire l'article dans les pages du blog :
http://amisgeorglukacs.org/2024/04/georg-lukacs-2-0.html  

Publié dans Textes de Lukacs

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Le blog publie un article de 1920 : Zone de dangers.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Cet article rédigé dans sa version originale en hongrois traite des problèmes de la révolution allemande jugée alors comme imminente, à l'issue du congrès de KPD, et à la veille du congrès d'unification avec l'aile gauche de l'USPD.  Il a été publié sous le titre : Veszélyes zóna. dans  Proletár, la revue du PCH éditée à Vienne (1, ière année, novembre1920), pp. 5-6.

Lire l'article dans les "pages" du blog :

http://amisgeorglukacs.org/2024/04/georg-lukacs-zone-de-dangers-1920.html

Publié dans Textes de Lukacs

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Le blog publie un article de 1952 : Johannes Becher, Sa poésie lyrique.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Votre traducteur s’est finalement décidé à attaquer cet essai, le dernier du recueil Schicksalswende qui restait à traiter.

Il hésitait en effet devant les extraits de poèmes à traduire. Rendre un poème est en effet plus complexe que la traduction d’un texte théorique. Comme toujours en pareil cas, on laisse à la disposition du lecteur le texte original, pour lui permettre, s’il connait la langue, d’apprécier la beauté des vers, et on propose une traduction. C’est donc par les vers que la traduction a commencé, et elle s’est avérée moins difficile que prévu.

Le deuxième problème soulevé par cet essai est que Johannes Becher est totalement inconnu en France, que ni ses romans, ni ses poèmes n’ont été traduits. Mais il est vrai que cette recension de la poésie lyrique de Becher est l’occasion, pour ne pas dire le prétexte, pour Lukács, d’exposer ses vues en matière d’esthétique.

À côté du reflètement scientifique de la réalité, la littérature est en effet pour Lukács le moyen privilégié de connaître, dans toute leur complexité contradictoire, les états d’esprit des individus qui constituent une nation, une organisation politique etc. Les sujets sont assurément conditionnés par leur origine sociale, l’éducation qu’ils ont reçue, mais aussi par les multiples rapports sociaux dans lesquels ils sont impliqués. Au contraire de la propagande qui ne convainc guère que les déjà convaincus, la littérature permet de faire accéder le plus grand nombre à la connaissance de la réalité, avec la force de conviction qu’ajoute la forme artistique.

Lukács restitue donc à la subjectivité de l’humain la juste place qui lui revient dans la théorie du matérialisme dialectique. Au lendemain de la période hitlérienne qui a conduit Johannes Becher à l’exil, et à combattre par sa poésie lyrique le fascisme, la barbarie et l’inhumanité du fascisme, Lukács met l’accent sur l’humanisme constitutif du socialisme tel qu’il le conçoit.

Lire l'article dans les "pages" du blog :

http://amisgeorglukacs.org/2024/04/georg-lukacs-johannes-becher-sa-poesie-lyrique.html  

Publié dans Textes de Lukacs

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Guillaume Fondu commente le troisième chapitre de l'esthétique.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Guillaume fondu poursuit ici l'analyse de l'Esthétique de Lukács, avec le troisième chapitre. 

https://youtu.be/bVPpHFumf9Q?si=0NxSshHNVWwUfxTE

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Le blog publie un article de 1941 : Johannes R. Becher, Abschied

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Le roman Abschied (Adieu) a été écrit en 1940, alors que Johannes Becher vivait en exil en Union Soviétique. C’est un roman autobiographique.

Il n’en existe pas de traduction française.

Ce livre a connu de multiples éditions, la première à Moscou, международная книга (le livre international), 1940, puis à Berlin, Aufbau Verlag, 1945. 

Pourquoi s’intéresser à la recension par Lukács d’un livre d’un auteur inconnu en France puisqu’aucun de ses livres n’a été traduit ? C’est qu’il s’agit à nouveau pour Lukács d’exprimer ses vues en matière artistique.

En soulignant la multiplicité des influences qui d’exercent dans le processus d’éducation de l’individu, il refuse tout schématisme mécaniste dans la détermination sociale, et égratigne au passage les « écrivains progressistes » qui y succombent. Le héros n’est pas un surhomme idéal, mais un être humain avec ses qualités et ses défauts, son courage et sa lâcheté, sa versatilité. Et seul le roman permet d’accéder à la connaissance de ces psychismes individuels qui constituent un peuple, une nation, une classe.

Il revient dans ce texte sur des thèmes déjà abordés dans Reportage ou figuration.(1932) et Raconter ou décrire (1936).

Publié dans Textes de Lukacs

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