Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le blog publie un essai politique de 1927 : Une critique de Marx au service du Trotskisme.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Il s’agit d’une recension critique du livre de Max Eastman : Marx, Lenin and the science of Revolution, [Marx, Lénine, et la science de la révolution].

http://amisgeorglukacs.org/2021/12/georg-lukacs-une-critique-de-marx-au-service-du-trotskisme.html

Publié dans Textes de Lukacs

Partager cet article
Repost0

Les éditions critiques publient le premier tome de l'esthétique.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

Les éditions critiques publient le premier tome de l'Esthétique, qui comprend les 10 premiers chapitres de cette œuvre magistrale.
36 € 920 pages 1,185 kg.
La traduction de Jean-Pierre Morbois a été revue par Guillaume Fondu, professeur de philosophie à l'Université de Rennes.. Cette édition de grande qualité, dotée d'une bibliographie et d'un index des noms cités, rend caduque les versions pdf de l'oeuvre que nous avions publiées dans les pages de ce blog.

Table des matières du tome 1

Table des matières du tome 1

Publié dans Textes de Lukacs

Partager cet article
Repost0

Le blog publie un article de 1917 : Georg von Lukács, La relation sujet-objet en esthétique.

Publié le par Jean-Pierre Morbois

L’existence de ce texte est mentionnée en note de l’auteur, comme référence méthodologique, dans Histoire et Conscience de classe (trad. Kostas Axelos et Jacqueline Bois, Paris, Les Éditions de Minuit, 1970, p. 177). Nicolas Tertulian s’y rapporte également dans le chapitre 4 de son ouvrage Georges Lukács, Étapes de sa pensée esthétique, (trad. Fernand Bloch, Paris, Le Sycomore, 1980, p. 107, consacré à l’esthétique de jeunesse, période de Heidelberg.

L’intérêt de ce texte est qu’il constitue un chaînon manquant dans l’évolution de la pensée du jeune Lukács. Mais le traducteur doit avouer avec humilité avoir été mal à l’aise avec le langage philosophique prémarxiste et les références à Kant, Rickert, Lask, Husserl etc. 

La comparaison avec la traduction italienne de Paola Mancinelli, qui se voulait novatrice, ne l’a guère aidé, le plongeant dans une grande perplexité quant à la qualité de celle-ci lorsque les interprétations du texte allemand étaient divergentes ou contradictoires, quand il rencontrait nombre de contresens flagrants, voire quand le texte italien s’éloignait tellement de l’allemand qu’il pouvait légitimement douter, malgré les précisions données dans la préface, qu’il s’agissait de la traduction de la même version de l’article.

Le traducteur bénévole qui, rappelons-le, n’est pas un philosophe de profession, aura fait de son mieux, sans toujours bien comprendre le texte qu’il traduisait. Il sollicite l’indulgence des lecteurs pour les obscurités du texte proposé et remercie par avance ceux qui voudront bien, en le comparant à l’original allemand, lui faire remarquer ses maladresses, ses incompréhensions, voire ses contresens, et lui faire part de leurs suggestions.

Publié dans Textes de Lukacs

Partager cet article
Repost0